mon engagement pour ce combat

Pour ce faire, je ne dois pas baisser les bras, regarder, écouter, surtout être à l'écoute de ceux qui ont besoin de s'en sortir, je ne peux en aucun cas dire,agir, tenir des promesses pour le patient, car lui seul doit prendre la décision d'arrêter.Ce que je dirais ne lui serait peut-être pas de grand secour, ce ne serais là que pour le soutenir pour l'aider à vaincre sa malaldie, car c'est une maladie.Qu'on le veuille ou pas et certe encor tabou de tous, car la réalité des faits n'est pas réjouissante. Je ne donnerais pas de chiffres, car je ne suis pas comptable, cela fait deux, avec mon orthographe, car on me l'a rappeler gentillement, mais bon! je ne pouvais pas boire et soigner mes écritures pleines de fautes, excusez moi.
Mais, la génération d'aujourd'hui vit au quotidien avec les problémes d'alcool, des parents, des amis, des voisins, de collègues de travail qui sont consernés, ça ne choque personne. Autrefois un homme qui buvait, était tout de suite un ivrogne, on y aurait presque cracher dessus, maintenant non puisque la plupart des personnes boivent un coup, au boulot, au bar, au restaurant, chez soi,entre amis ou en famille. Avant on ne pretait moin attention à cette maladie, il n'y avait moin de prévention, aujoud'hui on ne fait que ça, pourquoi ? la vie de maintenant est plus stressante, il faut tout les jours, se battre, pour avoir sa place dans la société, même si c'est une petite place, il faut la garder,et là parfois c'est dure de faire face au quotidien. Il est simple d'oublier dans un verre, puis deux, mais les problémes de la veille sont là le lendemain,et peut-être plus présents.Avant on partait bosser à l'usine ou dans son champ, on s'offrait des vacances avec plaisir, on pouvait se permettre des petits à coté, maintenant plus,il faut mieux faire pour satisfaire son employeur. la maladie est bien là, elle a pri sa place dans notre société, il faut nous entraider, dans ce combat, une personne seul qui boit, elle est seul, désespéré, angoissé, désamparé, de se qui lui arrive et cela malgré lui. J'ai connu cette situation, je l'ai vécu, j'ai tendu ma main, croyez moi, j'aurais souhaité parfois, être écouter des besoins que j'avais d' être, compri, soutenu, que l'on me tende la main pour m'aider à m'en sortir. Mais je ne voulais plus rien de personne , car j'avais été imcompri dés le départ, j'ai fait la route tout seul .Maintenant des malades viennent me parler, se confier, car je me suis dévoilé à vous, ils se remettent en question, ils se reconaissent, comment j'ai fait pour tenir le coup, moi ça a été ma volonté de réussir, pour vous je ne sais pas, quand vous allez réellement arrêter, comment vous allez vous y prendre , qu'elle volonté vous aurez, si il y a même une détermination à commencé ce combat qui le votre. Qui pourrez vous tendre la main, non c'est à vous de la tendre, afin de recevoir notre soutien, de pourvoir vous orientez, afin de vous aider au mieux. si tu me tend la main pour t'en sortir tu auras fait déjà un pas et de pas à pas, tu avanceras dans ta guérison et en ayant confiance en toi. Pour certains la route parait plate et plus longue, pour d'autres elle seras en dent de scie. Il ne faudra pas rester sur une rechute, c'est comme un bambin qui apprend à marcher il tombe les premiers jours, mais il se relève pour marcher comme tout le monde, pour lui c'est dure mais il y arrive, vous pouvez également le faire pour vous.